HAMMAM NATURISTE A MONTPELLIER

Ce Samedi 16 Février nous nous retrouvons dans le centre du vieux MONTPELLIER pour 2 heures de hammam naturiste.

En cette fin d’après-midi il fait bon au soleil mais la température qui nous attend à l’intérieur du hammam sera bien supérieur.

Rentrons. La porte à peine refermée derrière notre petit groupe et voilà déjà le début du voyage qui commence par la vue du

décor thypiquement Nord-Africains. Nous ne perdons pas de temps à la contemplation des mosaïques qui nous entourent et

otons rapidement nos tenues textiles. En bas d’un escalier, une porte vitrée. On entre et nous voilà submergé par une vague de chaleur.

L’endroit est dans le même esprit décoratif que l’étage superieur avec en plus un épais brouillard. On ne vois pas 5 mètres devant nous.

On s’habitue rapidement à la chaleur et à la vue. Devant nous une table de massage en faïences et plus loin dans le brouillard ……..

Une autre salle. On y est, la chaleur est maintenant bien supérieure. Nous sommes au coeur du hammam avec son générateur de vapeur.

On s’installe sur des tabourets en plastique le long des murs, mais il y a aussi la possibilité de s’alonger sur une plate-forme au fond

de la salle perdue dans le brouillard. Un peu partout des robinets d’eau froide. Nous passons 1h30 fort agréable entre les douches

tièdes (il ne faut pas prendre de douche froide) et les discutions dans la salle des brumes. Certains craignant la chaleur se réfugient

dans la première salle beaucoup moins chaude. Les discutions vont bon train, c’est de la chaleur humide pas de risque que nos

langues se dessèchent. L’intérêt d’un tel brouillard c’est que l’on ne vous vois pas arriver avec votre sceau d’eau froide.

Partie de rigolade. Les moins résistants sont déjà remontés depuis un bon moment quand les derniers arrivent dans la salle du

haut ou nous attend un delicieux the à la menthe. La boisson est bue depuis un long moment déjà et nous transpirons toujours

de la chaleur accumulée dans le hammam, laissons notre corps evacuer toutes ses impuretées.

Il faut neanmoins penser à partir. Rabillons nous pour aller dehors affronter la fraicheur de la nuit tombante.

Retour joyeux dans le tram qui nous ramène à la maison pour partager un repas à « l’auberge Espagnole ».

La journée de Dimanche est déjà bien entamée lorsque chacun prend la direction de son lit.