Cette sortie n’était pas prévue au programme des activités 2013. Nous sommes 3 représentants du CS LANGUEDOC à nous rendre à Marseille pour un week-end randonnue dans les calanques.
Samedi matin, nous retrouvons donc, comme l’année dernière, nos amis de l’AJNF et de l‘ANP ainsi qu’une petite debutante en randonnue.
Bruno, qui connaît les Calanques comme sa poche (quand il en a une), nous a concocté, pour cette première journée, une rando d’environ 6 heures avec des passages quelque peu vertigineux. Le groupe composé des 3 associations prend le départ depuis la calanque de callelongue en fin de matinée.
Après une bonne heure de marche, nous pouvons enfin nous mettre en tenue naturiste.
Nous croisons quelques personnes qui ne semblent pas vraiment étonnées de voir une vingtaine de personnes randonner nues, peut-être ont-ils déjà croisés l’ ASSOCIATION NATURISTE PHOCÉENNE.
Les paysages sont magnifiques et notre petit groupe progresse tranquillement, mais Bruno nous a réservé une petite surprise. Un petit aplomb de quelques mètres se présente à nos pieds et les plus sensibles au vertige commencent à serrer les dents. Cette difficulté est passée bien plus facilement que ce qu’on aurait pu le croire en haut.
Quelques minutes plus tard, nous voilà devant une corniche en courbe équipée de câble, ça se complique…….
Il nous faut aider les moins vaillants en les allégeant de leurs sacs à dos et en restant au plus près d’eux. La marche est très haute, peut-être plus de 20 mètres, la prudence est de mise. Ouf ! Tout s’est bien passé et notre effectif reste le même, pas de perte……..pour l’instant ! C’est donc un moment plus tard, alors que tout le monde s’est remis de ses émotions, que nous découvrons la surprise du chef : une petite falaise équipée de plusieurs câbles successifs est la dernière difficulté avant une pose bien méritée. Même méthode que pour la corniche, les plus à l’aise viennent prêter main-forte au
Quelques minutes plus tard, nous voilà devant une corniche en courbe équipée de câble, ça se complique…….
Il nous faut aider les moins vaillants en les allégeant de leurs sacs à dos et en restant au plus près d’eux. La marche est très haute, peut-être plus de 20 mètres, la prudence est de mise. Ouf ! Tout s’est bien passé et notre effectif reste le même, pas de perte……..pour l’instant ! C’est donc un moment plus tard, alors que tout le monde s’est remis de ses émotions, que nous découvrons la surprise du chef : une petite falaise équipée de plusieurs câbles successifs est la dernière difficulté avant une pose bien méritée. Même méthode que pour la corniche, les plus à l’aise viennent prêter main-forte au
moins téméraires et tout ce passe sans soucis.
Apres ces 3 épreuves, et vu que: « les émotions ça creusent ». Notre guide du week-end nous mène jusqu’à notre coin prévu pour le pique-nique.
Déjeuner au pied d’une falaise avec vue magnifique voilà le décor planté.
Chacun en profite pour récupérer des émotions de la matinée. Comme d’habitude, le repas est un moment de franche rigolade.
Mais il faut tout de même penser à continuer notre chemin. L’après midi est beaucoup plus tranquille que le matin et nous profitons pleinement des différentes Calanques. Nous prenons un peu d’altitude pour le retour et les paysages de l’aller nous semblent bien différents maintenant.
Déjeuner au pied d’une falaise avec vue magnifique voilà le décor planté.
Chacun en profite pour récupérer des émotions de la matinée. Comme d’habitude, le repas est un moment de franche rigolade.
Mais il faut tout de même penser à continuer notre chemin. L’après midi est beaucoup plus tranquille que le matin et nous profitons pleinement des différentes Calanques. Nous prenons un peu d’altitude pour le retour et les paysages de l’aller nous semblent bien différents maintenant.
Nous approchons de la fin de la rando et 3 courageux décident d’aller grimper jusqu’à un sommet tandis que les autres prennent l’option plage.
La mer est un peu nerveuse et l’eau rafraîchissante, mais quel bonheur d’être là.
Soirée pâtes à la carbonara, spécialité préparée par les jeunes de l’AJNF.
La nuit a été courte mais il reste encore pour la rando du dimanche 4 jeunes, 2 Marseillais, 3 Montpellierains,1 Niçois et une débutante. Certains faisant partie de plusieurs catégories et sachant qu’il y avait une femme de moins que le nombre d’homme, les paris sont ouvert pour connaître le nombre exact de randonneurs ce jour là.
Départ du col de la Gineste, le temps se couvre comme prévu par météo France. Il y aura sûrement moins de monde à la Calanque d’En Vau.
Au bout de 20 minutes de marche, les premières gouttes tombent. Ce n’est pas la peine de mouiller nos habits, ils nous donneraient froid! Alors quoi de plus naturel que de se mettre nu.
Départ du col de la Gineste, le temps se couvre comme prévu par météo France. Il y aura sûrement moins de monde à la Calanque d’En Vau.
Au bout de 20 minutes de marche, les premières gouttes tombent. Ce n’est pas la peine de mouiller nos habits, ils nous donneraient froid! Alors quoi de plus naturel que de se mettre nu.
Nous décidons de nous rendre au belvédère d’En Vau car il y a, pas très loin de là, un refuge pour prendre notre repas au sec en attendant une éclaircie. Les Calanques par temps orageux nous offrent de quoi faire de magnifiques photos et on ne s’en prive pas.
Apres le déjeuner, le soleil fait son grand retour et de nouveau nous ne pouvons nous empêcher de prendre nos appareils photo. La Calanque d’En Vau vue du belvédère est tellement extraordinaire et tellement deserte que lorsque Bruno nous propose d’aller nous y baigner tout le groupe est ravi.
Notre guide nous fait passer par de petits sentiers pas trop fréquentés afin que nous puissions rester nus.
Malgré tout, les dernières minutes de marche avant d’arriver à la calanque se feront avec un paréo autour de la taille car ce chemin est habituellement très fréquenté.
La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres.
L’eau cristalline de la calanque est un appel à la baignade et nous ne pouvons pas y résister. La plage est à nous.
Malgré tout, les dernières minutes de marche avant d’arriver à la calanque se feront avec un paréo autour de la taille car ce chemin est habituellement très fréquenté.
La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres.
L’eau cristalline de la calanque est un appel à la baignade et nous ne pouvons pas y résister. La plage est à nous.
Il faut maintenant penser au retour, certains ont un train à prendre.
Pour ces moments magiques au milieu des calanques Marseillaises, je voudrais remercier Bruno pour nous avoir guider et commenter tous ces fameux paysages, les membres de l’ANP, ceux de l’AJNF sans oublier notre petite Isa, débutante en randonnue, de nous avoir héberger ce week-end.
Merci à tous et à l’année prochaine.
Pour info:
ANP Association Naturiste Phocéenne
AJNF Association des Jeunes Naturistes de France et bien sur
CSL Club du Soleil Languedoc